DAR ES SALAAM
Nous arrivons à Dar es Salam en bus. Les gens nous indiquent la sortie du parking de la gare routière, immense et confuse.Puis nous avons 10 km à parcourir par la grande route à 4 voies, dans le trafic et le chaos des vélos, motos, piétons et camions, bus et voitures, avec la circulation ralentie et bousculée par des travaux. Finalement nous arrivons sans encombre au centre ancien. Et de la grâce au plan affiche sur le téléphone et aux indications des gens, nous arrivons à l’hôtel, ou nous trouvons une jolie chambre pour 35$.
Juste à cote il y a un excellent restaurant pour les riches, ou nous déjeunerons tous les midis, de grillades et bons légumes. Je me demande qui de nous 2 a le plus d’appétit, nous dévorons.
Nous marchons un peu dans Dar, d’un cote pour aller à l’ambassade du Canada pour que Martine récupère son passeport, de l’autre du cote du port, qui est à côte de l’hôtel. Nous allons aussi plus à l’intérieur pour rencontrer le Canadien qui travaille avec l’association pour laquelle Martine voulait faire du volontariat. Elle espérait visiter avec lui quelques opérations de construction, mais il n’aura pas le temps de nous amener, la malchance continue.
Dar est une vraie ville, avec des rues goudronnées, des immeubles et des maisons, un plan d’ensemble, des boutiques, des échoppes, et des marches. Ça fait plaisir à voir. Il y a une jolie esplanade le long de la mer pour rejoindre le quartier des ambassades, et le port est en train de devenir un quartier moderne. Nous n’avons pas été voir le marché des pécheurs, il faisait très chaud et je fatigue vite, toujours souffrant de la malaria.
Apres quelques jours nous prenons le ferry pour Zanzibar.
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